Le chocolat, cette histoire d’amour

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le chocolat a connu une vie bien remplie. Une vie d’empereurs, de rites sacrés, de marins audacieux, et de boulangers inspirés.

Une boisson amère et sacrée

Le chocolat ne commence pas sa riche histoire à Paris, à Bruxelles ou même à Bayonne. On doit plutôt se tourner vers les contrées de l’Amérique centrale, et ce, bien avant que la Tour Eiffel ne pointe le bout de son nez.

Il ne s’agit pas alors d’une alimentation courante. Très prisé chez les Mayas et les Aztèques, le cacao est une boisson amère et mousseuse, réservée aux élites, aux guerriers et aux rites sacrés. On la boit pure, sans sucre, parfois pimentée, mais toujours avec le respect. D’ailleurs, le mot “chocolatl” proviendrait du nom nahuatl donné par les Aztèques.

Ce n’est donc pas par hasard qu’il est appelé “nourriture des dieux” à cette époque.

Personne récoltant du cacao se trouvant dans des cagettes remplies de cacao

Le cacao traverse l’Atlantique

Au XVIe siècle, le cacao revient au continent européen dans les valises des conquistadors. Grace a ce trip tout change. En effet, on commence à le sucrer, à lui ajouter du lait, de la vanille et même à le consommer pour le plaisir. Bien qu’à l’époque, ce plaisir est réservé a la cour royale, de même qu’à l’aristocratie d’antan, dans les salons à la mode.

Pour Louis XIV, ce breuvage est exquis, il deviendra alors le breuvage à la mode. Dans les boudoirs parisiens, en effet, on se presse pour découvrir cette nouvelle boisson qu’on ramène, au retour des Colonies, du “Nouveau Monde”. Ce bijou devient une marque de raffinement et d’exotisme.

Mais tout cela n’est encore que le début…

 

femme tenant une tablette de chocolat dans sa bouche en souriant

Le chocolat à la française

C’est au XIXe siècle qu’il sort des salons et entre véritablement dans nos vies.

Il devient solide sous l’effet des avancées industrielles, vendu sous forme de tablette. Les premiers goûter apparaissent ainsi que les premières.

Il s’incruste dans les familles et habitudes françaises. On peut le retrouver dans les tartines du matin, dans les biscuits de mamie Uguette, ou encore dans ce morceau de pain chaud après l’école.

Il devient alors bien plus qu’un aliment…Il devient un souvenir.

Un souvenir joyeux

Mais pourquoi devrait-il rester enfermé dans du papier alu et des emballages sages ?

C’est ce qu’ont pensé les fondateurs de Le Chocolat Des Français, qui ont eux-mêmes grandi dans le souvenir des chocolats joyeux.

Et si on redonnait sa place au goûter ?

Chaque tablette de chocolat est une invitation aux partages. non pas simplement à croquer ou parce que maman ou papa nous a dit « goûte et après tu fais t’es devoirs » mais pour vivre une explosion de saveurs gustatives partagées.

Dans un monde qui va vite, qui culpabilise le sucre et qui réserve le plaisir à des occasions très spéciales, nous, on dit : pause.

Le goûter n’est ni caprice.Il est plutôt, un instant. Un souvenir. Une toute petite volte pacifique contre le trop sérieux.

Et si il à traversé des siècles, ce n’est pas au hasard.C’est parce qu’il parle à l’enfance, au plaisir, à l’émotion.

Il est universel, il est partagé, il est vivant !

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